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DOSSIER KOSOVO  - BILAN - ASSASSINATS ENLEVEMENTS

TUERIE D'ENFANTS À GORAZDEVAC

Le 13 août 2003, dans l'enclave serbe de Goradzevac, à 5 km à l'est de Pristina, les enfants se baignent dans la rivière. Des tireurs embusqués sur l'autre rive les prennent pour cible ; 70 douilles seront retrouvées. Deux garçons sont tués Panto Dakic, 13 ans et Ivan Jovovic, 19 ans. Quatre autres sont blessés : Bogdan Bukumiric, 16 ans soigné à Belgrade pour une balle dans le cerveau, Dragana Srbljak, 14 ans touchée au pied, Djordje Ugrenovic, 21 ans atteint au coude et Marko Bojicevic, 11 ans, blessé à la hanche. La chasse aux enfants serbes était ouverte, et la suite de leur évacuation pour soins poursuivra la curée de cette chasse albanaise.

Panto Dakic, 13 ans tué pendant qu'il se baibrait dans la rivière
Ivan Jovic, 19 ans tué pendant qu'il se baignait
Bogdan Bukumiric, 15 ans atteint d'une balle au cerveau
Panto Dakoic, 13 ans (10 sur la photo), tué par balle pendant qu'il se baignait
Ivan Jovic, 19 ans tué également par balle
Bogdan Bukumiric, 15 ans, atteint d'une balle au cerveau
     
Marko Bojicevic, 11 ans, blessé à la hanche Djordje Urenovic, 21 ans , atteint d'une balle dans le coude Dragana Srbljak, 14 ans atteinte par une balle au pied. Le médecin albanais plâtrera le pied encore sanglant et la renverra chez elle
Marko Bojicevic, 11 ans, blessé à la hanche
Djordje Ugrenovic, 21 ans blessé d'une balle au coude
Dragana Srbljak, 14 ans, blessée au pied par balle. Le médecin albanais de l'hopital de Pec plâtrera le pied encore sanglant et la renverra chez elle.
la rive où se baignaient les enfants  
Panta Dakic, 13 ans, victime de tireurs albanais, au nom du Kosovo muliethnique institué par l'OTAN
Dragana, rescapée, blessé au pied raconte :" On a cru à des pétards. Une balle m'a traversé le pied, je suis tombée par terre. Ivan est mort sous mes yeux. C'est papa qui m'a ammenée à l'hôpital de Pec (NDLR : la ville la plus proche, peuplée exclusivement d'Albanais). Nous étions escortés par les soldats italiens. En nous voyant passer, les Albanais dansaient et gueulaient : "C'est bien fait pour vous !" L'une des voitures est tombée en panne. Ils ont cassé les vitres, sorti et frappé les blessés. Après, ils ont voulu mettre le feu à la voiture. Les militaires de la KFOR sont intervenus juste à temps. Le cauchemar n'était pas fini : quand je suis arrivé à l'hôpital, un médecin albanais a regardé mon pied qui saignait. Il l'a plâtré en me disant que je pouvais rentrer chez moi. Une blessure par balle, vous imaginez ? A l'intérieur du plâtre, ça saignait toujours, évidemment. Il a fallu aller m'opérer à Mitrovica-Nord, à l'hôpital serbe. Quatre-vingts kilomètres de route." (voir article du Figaro Magazine)

 

Le petit fère de Panta Dakic, 13 ans, tué par balle pendant qu'il se baignait dans la rivière, par les libérateurs albanais mis au pouvoir afin d'instaurer le Kosovo multiethnique et la tolérance

Le petit frère de Panta Dakic, 13 ans, tué par des tireurs albanais lors de la chasse aux enfants serbes du 13 août 2003. Le Kosovo multiethnique est sous direction de l'OTAN suite à la guerre déclarée en 1999 par l'OTAN, la France, l'Allemagne et les USA en particulier.
L'Otan a confié le pouvoir à l'UCK, mouvement autant islamique que terroriste et mafieux.
Les résultats sont là et les médias se taisent, ayant tous parcticipé au lynchage du peuple serbe, ayant diffusé les informations les plus fantaisistes sans la moindre vérification.
Ces informations, ci-dessus, sont quant à elles, vérifiées et ne suscitent pas la vague d'indignation que les désinformations d'avant la guerre avaient suscitées.

 

« Désormais sur notre continent, chacun aura compris que ne seront plus tolérées des politiques racistes, des pratiques de purification ethnique qui faisaient honte à notre conscience et à notre mémoire  » ,  Jacques Chirac, juin 1999, Cologne

« Quelle sera la place des minorités dans le Kosovo indépendant que vous appelez de vos vœux ? Nous ne visons pas à nous venger contre telle ou telle minorité. Nous souhaitons un Kosovo libre, indépendant et démocratique. Nous acceptons une ingérence internationale permanente qui puisse surveiller que toutes les minorités jouissent bien des mêmes droits » Bardhyl Mahmuti, représentant politique de l'UCK en Suisse, chargé des relations du gouvernement provisoire du Kosovo avec la France. Entretien conduit par Alain Guillemoles, journaliste au quotidien La Croix- Confluences Méditerranée  N°30   Eté 1999

Les morts n'ont, semble-t-il, pas la même valeur suivant les ethnies et les religions :
"On ne peut pas mettre sur le même pied le probable millier de victimes serbes et les centaines de milliers de Kosovars massacrés" Antoine Garapon, magistrat, secrétaire général des hautes études sur la justice, président du "comité Kosovo", membre de la revue Esprit. Télérama, 23 juin 1999
On imagine aisément la justice rendu par ce magistrat qui colporte la rumeur des "centaines de milliers de Kosovars massacrés", et l'aspect objectif, purement humanitaire de ce "comité Kosovo".
A quand un jugement de ce magistrat et de son comité pour mensonge, propagation de fausses informations, banalisation de crime contre l'humanité ? On notera que le magistrat parle de "victimes serbes", mais de "Kosovars massacrés". D'une part, les seuls Kosovars sont donc, selon lui, les Albanais du Kosovo, ce qui indique sa vision ethniciste pro albanaise, mais encore, les uns sont simplement "victimes", les autres sont "massacrés".

Nous conseillons donc au petit frère de Panto Rakic de demander à Monsieur Garapon magistrat de lui expliquer la différence.

Voir l'article du Figaro Magazine septembre 2003

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