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DJAKOVICA
Après l'épuration ethnique et la vague d'assassinats de Serbes qui avaient suivi la victoire de l'OTAN au bénéfice de l'UCK, il ne restait à Djakovica que 6 femmes âgées serbes vivant entre les murs du petit domaine paroissial, sous la protection de soldats italiens de la KFOR. Ne pouvant sortir qu'occasionnellement sous protection militaire, en véhicule blindé de la KFOR, elles entretenaient l'église et menaient une vie monacale, isolées au milieu de l'océan de haine albanaise. Leur présence était encore de trop pour les batisseurs du Kosovo multiethnique albanais mandatés par les accords de Rambouillet et la communauté internationale.
Le 17 mars 2004, ceux que les médias français nommaient Kosovars, les Albanais du Kosovo, lancent une attaque massive contre le sanctuaire, incendient le dortoir des vieilles femmes. Les Italiens n'ont d'autre solution que d'évacuer les femmes en hélicoptère, au moment où les portes cèdent sous les coups des assaillants. La fureur destructrice brûlera, pillera, rasant totalement les batiments.
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Les six vieilles femmes ont été recueillies au monastère de Decani |
Poljka et Nada allument des bougies à l'ancien emplacement de l'autel. |
Le lieu, nettoyé de toute trace du passé chrétien
Pendant les journées de pogrom, les Albanais vont également raser la cathédrale de la Sainte Trinité où subsistaient deux clochers, rescapés des destructions de juin 1999 Le Kosovo multiethnique en 4 épisodes
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| 1 - Avant la guerre |
2- A l'arrivée des forces de paix de l'OTAN |
3- Après la "libération", le pouvoir de l'UCK |
4 - Dernière étape pour un Kosovo multiethnique sans discrimination, dans le respect des diversités religieuses avec le financement de la communauté européenne.
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Il ont eu le temps de signer, comme à Rambouillet
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